Nom : Akeshi
Prénom : Itade
Age : 17 ans tout rond.
Pourquoi êtes-vous à Tanaka High ? : Itade y a été envoyé par son psy qui le jugeait trop instable. Il n'a opposé aucune résistance.
Relation avec les élèves et les autres personnels de l'école : Disons qu'il est silencieux devant tout le monde. Il a plus de respect envers ses profs, évidemment, mais ses phrases se résument en trois lettres : '...'
Description physique : Son apparence n'a rien de particulièrement étrange, et il est même très normal. Néanmoins, ses traits juvéniles semblent tirer vers la grâce, lorsque que ses yeux rubis s'animent de lassitude ou de curiosité. Peu musclé, il n'apprécie pas qu'on le compare à une fille, ce à quoi il ressemble... De taille moyenne et de poids normal, il passe dans la foule sans aucun soucis. Néanmoins, un petit fait attirant : ses cheveux corbeaux contraste étonnement bien avec son teint mortellement pâle. Chose normale, le brun ne sort que très peu. Bref, il est mignon. Il possède un tatouage dans son dos, fait par le parent d'un de ses amis. Il représente un chat noir aux yeux rouges, inspiré de lui-même, prêt à bondir sur une proie.
Description psychologique, le caractère : Si l'on pouvait l'appeler autrement, ce serait silence. Car il ne fait aucun bruit, aucun geste brusque. Il est difficile de lui tirer une parole, et beaucoup s'en énervent. Son caractère naturel le pousse à ne pas chercher à embêter les gens, pour tout dire, il les évite au maximum. En cas de 'soucis' avec quelqu'un de violent, il cherchera toujours un terrain d'entente, quitte à se prendre deux trois baffes, il s'en fiche. Pour lui, la douleur est un moment désagréable, mais ne doit pas altérer son jugement. Il aime, par exemple, s'endormir sous un arbre, écouter de la musique, du jazz de préférence, ainsi que dessiner, son 'truc'. Le métier voulu ? Dessiner des mangas ou des bandes dessinées, une chose qui l'amuserait et ne nécessiterait pas de parler. Bref. Sa phrase ou citation favorite ? '…'. Lorsqu'il parle, il ne dit pas des choses idiotes, et résonne souvent de façon logique et sensé. Il prend la mort comme une chose naturelle, n'ayant vu que ça toute son enfance.
Néanmoins, il cache un petit secret : il est chanteur est bassiste, et lorsqu'il s'ennuie, par s'entraîner avec une petite bande de gens qu'il supporte. Bien sûr, il n'en parle pas. Bah oui, arrivez déjà à lui tirer un mot !
Histoire : La vie d'Itade ? Un grand silence. Je ne rigole pas. Sa mère, atteinte d'une maladie génétique, vécut, à la suite de la naissance d'Itade, à l'hôpital jusqu'à le fin de ses jours. Son fils, atteint de la même manière, vécut avec elle. Scolarisé à l'hôpital, il se réfugia dans les bouquins et dans les dessins. Fragile de santé, il ne connut pas les joies du sport, il en sera d'ailleurs dispensé à vie, ou encore des sorties en forêt. Il n'est pourtant pas allergique à de nombreuses choses, à rien même, mais son état instable pourrait lui déclencher un accident vasculaire cérébral à tout moment. Il se fit des 'amis', évidemment. Ce qu'on oublie de dire, c'est que la plupart des enfants à l'hôpital partent, ou meurent. Donc les gens ne restait pas longtemps. Les adultes, eux, l'énervait. Ils voulaient le faire rire, sans grande réussite. Franchement, comment rire devant un gars tartiné de maquillage ?
Bref. Mais ce qui devait arriver arriva. La mère d'Itade mourut à l'âge de 34 ans, laissant derrière elle un fils de 7 ans et un mari éploré qui se suicida peu de temps après. Sauf que le problème, c'est que l'enfant ne ressentit rien. Pas même un sentiment de tristesse. Il fut suivi par une dizaine de psychologues, étudiés sous tout les recoins, et a changé d'hôpital plusieurs fois, pour se 'rapprocher' de sa famille restante... Qui ne vint jamais. Sa vie ne fut qu'un long enchaînement de piqures, dont les traces sont restées sur ses mains ou encore sur ses bras. Non pas qu'il s'en plaint. Hormis qu'un petit miracle eut lieu : grâce à un traitement complexe, long et douloureux (non pas qu'il s'y intéresse, à la douleur), il parvint à récupérer une partie de ses défenses immunitaires, le permettant, pour la première fois de sa vie, de sortir de l'hôpital à quatorze ans. Avec des injections de médicaments tout les trois jours par une infirmière, ainsi que des traitements à suivre à la lettre.
Il fut suivi par un tuteur, chez qui il passa deux années, puis fugua. Retrouvé dans la soirée, il fut placé dans un centre pour enfants à problèmes où il fut établi qu'il avait un gros problème de manque d'affection. On décida de l'envoyer au meilleur endroit pour qu'il apprenne à faire des connaissances : Tanaka-high, spécialisé dans ce genre de cas. Sous surveillance, évidemment, avec des traitements réguliers.
Autre (facultative) : Avui, je cite : '...'
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