Pour oublier? Juste ça? [Sashimi]

La maison Shimizu est une immense batîse situer dans une ville voisine. Toute la zone qui l'entoure est sous son contrôle soit plus de cinquante pourcent de la ville. Les Shimizu sont des mafieux, ils font parti des trois plus grande famille mafieuse de la ville et j'en fais parti. Je suis un membre de cette grande famille depuis deux ans déjà. Je suis l'un des membre les plus important et les plus craint. Ma force et mon caractère ont fait de moi ce que je suis. Et pourtant il a réussi à me blesser, moi un invaincu celui qui fait trembler les plus grand. J'ai mal, je me sens vide et surtout je ne veux plus voir personne.

Ce matin là était comme les autres du moins à quelque exception près. La première étant que je dois vivre avec mon frère. La seconde est que je dois vivre dans une boite de concerve et la troisième est que j'ai l'impression que m'on m'a arraché le coeur. Un coup d'oeil autour de moi, mon frère n'est pas là. Il m'avait pourtant promis de cuisiner pour moi. Je poussais un long soupir et des larmes coulèrent. Aujourd'hui comme chaque jour qui c'est écoulé depuis cette pseudo rupture je ne me sens capable de rien. Je reste dans mon lit, je ferme mes yeux et j'attend. Ma tête est envahit d'étrange pensée, toute ayant la même personne en tête. J'ouvre les yeux et j'observe le plafond puis j'attend, j'attend le déclique.

C'est alors que mon téléphone sonne. une fois puis deux puis trois. Je le laisse sonner, je ne veux parler à personne. Mais il continu à sonner encore encore et encore. Je me redresse et je lance un regard assassin au portable. Je l'attrape et je regarde qui m'appel. Mon père ou plutôt le chef Shimizu que je considère comme tel. Je vois un message, je l'ouvre et je le lit. Un rendez vous dans un bar d'un quartier plutôt mouvementer. Je pousse un soypir et je me lève, une douche? Pas de salle de bain dans l'appart. Je file rapidement à l'extérieur dans le bain publique puis je retourne chez moi tout propre. J'enfile un costume noir dont la chemise est à rayure blanche et noir. J'ai même le chapeau assorti, je rajoute à la tenue la bague des Shimizu et une montre puis je sors.

Surprise deux types plutôt balèze de ma connaissance. Des Shimizu de basse catégorie mais fiable, presque des amis. Mais je n'aime pas ce terme, l'amitié est comme l'amour elle fait mal. J'entre dans leur voiture et tout le long du trajet personne ne parle. Nous arrivons au bar, le maître n'est pas encore arriver. Je m'installe seul au bar pendant que les deux autres réserve une table. Je sors mes faux papier mais c'est plus la bague qui force le barman à me servir. Il me sert un verre et pose la bouteille à côté. Je bois le verre d'un trait puis j'attrape la bouteille de whisky. Je me lève et je me dirige droit sur le vieux juke-boxe que je met en marche. Je suis saoûl, une gorgée suffit alors un verre plus la bouteille. Je danse tout seul, ma bouteille à la main. Je me sens bien, plus libre et joyeux. Autour de moi les gens rient ou m'encouragent à continuer. Pourquoi? Peut-être parce que je viens d'enlever ma veste et que ma chemise est déboutonner...je n'ai pas remarqué Hiro...pas encore.

J'étais tellement dans les vappes que je ne faisais pas vraiment attention aux personnes qui m'entourait. Je me sentais vraiment mal et maintenant je commençais à me demander si c'était à cause de l'alcool ou si c'était encore ce sentiment. Je me mis à rire sans trop savoir pourquoi et je repartis de plus belle. J'étais saoûl c'est pour cela que je pensais à ce genre de chose, je ne pouvais pas être amoureux. Si je n'avais pas était totalement prit dans les effet de l'alcool je pense que j'en aurais pleurer. Je continuais à danser sans faire vraiment attention, sans voir Hiro qui traversait la foule pour éteindre le juke-box. Et d'ailleurs même une fois qu'il l'eu éteint je continuais de danser sans m'arrêter.

Je m'arrêtais que lorsque je remarquais qu'autour de moi tout le monde c'était arrêter et fixer un endroit prècis. Je me retournais vers cette personne et je restais figer? De toute les personnes que je connaissais c'était franchement la dernière que je voulais voir. Je bu une dernière gorgée très longue et sans m'en rendre compte Hiro venait de reboutonner ma chemise. J'observais ses mains, ses doigts qui refermaient ma chemise avec une vitesse ahurissante. Puis un air tout aussi ahurit sur le visage je le regardais sans trop comprendre et il avait disparu. Enfin, les deux yakuzas l'avaient plaquer contre le mur et le retenaient.

Je les regardais toujours aussi ahurit puis je portais ma bouteille à mes lèvres et je restais un peu surpris. Et bien, je regardais ma main et il n'y avait plus de bouteille puis je regardais à droite et à gauche mais rien. Le type qui ressemblait à Hiro posa son regard sur moi et prononça mon regard puis ricanna. Je fronçais les sourcils, de quel droit se moquait-il de moi et puis d'abord comment connaissait-il mon non?! Il prononça alors un mot, je reculais un peu effrayer et alors je prononçais assez fort et distinctement tout en fixant la foule:

"-Dehors! Tout le monde dehors! Je ne veux plus voir personne!"

Un regard des deux hommes et tout les clients sortirent même le barman en profita pour s'en aller il avait l'habitude. Il ne restait plus que moi, les deux gorilles et la pâle copie d'Hiro et vous l'aurez compris j'étais trop bourée pour comprendre que c'était le vrai. Il regarda ce clone soupirer puis lui demander de faire en sorte qu'on le relâche. Je fixais les deux hommes et je leur fis signe de sortir, ils le regardèrent un peu hésitant mais obéir. Il reposa son regard sur le pseudo surveillant et esquissa un sourire triste puis lâcha:

"-Ce ne sont pas mes amis...."

Je m'installais un peu plus loin tout en lançant des regard soupçonneux à cette copie de mon sempai. Puis je restais là un moment à regarder mes doigts tout en l'observant de temps en temps. Je fini par me lever et sans le lâcher du regard je récupérais ma bouteille!

J’étais complètement à l’ouest et à vrai dire c’était seulement la seconde fois que je buvais de l’alcool. J’attrapais la bouteille et je sentis alors une main sur mon poignet puis des lèvres sur les mienne. J’étais trop à l’ouest et le temps que je comprenne ce qui se passait les lèvres c’étaient écarter. J’observais le double du surveillant d’un regard vide, mon visage était un peu rouge sous l’effet de l’alcool. Je reportais ma main à ma bouche mais là encore il n’y avait plus rien. Je regardais ma main d’un air un peu surpris puis je rit un peu. Je regardais les main du clone mais il n’y avait rien, je ne comprenais vraiment rien et au fond je m’en fichais totalement.

Le copieur lui demanda de dire quelque chose, cela signifiait aligner plus d’un mot à la suite donc du point de vu de mon cerveau qui marchait au ralenti c’était impossible. Je me contentais de l’observer d’un air neutre, il n’y avait rien dans mon regard qu’un vide immense. La copie lui demanda pourquoi il faisait cela, je ne répondis rien que pouvais-je répondre? Mais à présent j’étais sûr que ce n’était qu’une pâle copie d’Hiro car lui souriait toujours et peu importe le moment. Je chancelais un peu jusqu’à la table qu’avaient réservé les deux idiots et je m’assis. Je mettais mis de telle façon à ce que mon sempai ou du moins son double ne voit que mon dos.

Je me sentais mal, j’étais totalement vide et plus le temps passer moins j’avais envie de rester ici pourtant je n’avais pas le choix. Le chef devait venir et si il ne me trouvait pas à cet endroit lorsqu’il arriverait il serrait dans l’obligation de prendre mon geste pour une insulte. Je posais mon front sur la table froide et je restais ainsi un moment. Je me sentais mal, vraiment très mal et j’avais du mal à m’expliquer ce sentiment avec précision. Je ne comprenais rien, j’avais si mal ma tête semblait vouloir exploser. Je déposais mes deux mains sur ma tête et je me mis à trembler malgré moi. Et finalement je n’en pouvais plus, je me relevais violemment et sans me retournais je hurlais de toute mes forces:

« -VOUS ÊTES TOUS PAREIL AU FINAL!!! VOUS VOULEZ QUE L’ON VOUS DONNE MAIS VOUS NE DONNEZ RIEN EN CONTREPARTIE!!! VOUS CROYEZ QUE SOUS PRETEXTE QUE VOUS FAÎTES COMME SI VOUS AVIEZ DES SENTIMENTS POUR MOI JE VAIS VOUS ACCORDEZ MA COONFIANCE????!!! PLUS JAMAIS!!!! JE NE LAISSERAIS PLUS JAMAIS PERSONNE SE MOQUER DE MES SENTIMENTS!!!! JE NE VOUS LAISSERAIS PLUS JAMAIS VOUS MOQUEZ DE MOI!!!! PLUS JAMAIS…PLUS Jamais…Plus jamais…plus jamais…plus…jamais! Jamais…jamais…jamais… ja…mais… »

J'étais peu à peu retomber sur ma chaise et je m’étais doucement évanouie parlant même une fois dans mon sommeil. Les larmes avaient couler sur mon visage, elle était encore là roulant lentement sur mon visage. J’étais épuisé et lorsque l’on savait que je ne dormais plus qu’une heure par jour et encore cela dépendait de mon état physique. Je ne mangeais presque plus, à moins que ce soit mon frère qui cuisine et encore il fallait qu’il m’y oblige. Je me sentais tellement mal et je détestais cette copie puis dans un dernier élan d’énergie et cela dans mon sommeil je lâchais:

« -On plus mon Sempai et plus mignon que toi saleté de copie! »

J’étais si fatigué je n’en pouvais plus, mes larmes coulaient toute seules et ma tête, ma tête était si douloureuse. J’avais finalement lâcher une partie de ce que j’avais sur le cœur, mais le surveillant était loin d’imaginer la triste vérité. Mon enfance d’un point de vu extérieur a peut-être peu sembler heureuse mais les personnes les plus proches de la famille peuvent témoigner que ce n’était pas le cas. Mon père me haïssait et ne me considérait pas comme son fils. Il m’ignorait et concentrait tout son amour sur mon frère, son seul fils comme il me disait. Bien sûr il ne le disait pas devant son épouse ou ses amis et encore moins devant des inconnus il ne le disait que lorsque l’on était seuls ensemble. Je n’avais que trois ans enfin au début car cela a durée jusqu’à mes huit ans. C’était toujours pareil, il m’expliquait pourquoi j’étais un déchet pourquoi il valait mieux que je meurs et puis en publique il était gentil. Mais je refusais sa gentillesse car je savais qu’elle était fausse et alors je passais pour le monstre de cruauté.

Des psychologue j’en avais vu pour cela mais aucun n’a peu m’aider, après tout pour cela il aurait fallu que je leur dise la vérité mais m’auraient-ils cru? J’en doute fortement! Cela a continuer longtemps jusqu’à ce jour fatidique, jusqu’au jour de mes huit ans. Souvenez vous que mon père est un tueur en série et qu’il se trouve en ce moment dans le couloir de la mort. Et bien j’avais huit ans lorsque j’ai découvert mon père un couteau de cuisine à la main et un cadavre face à moi. Cette image me hante encore aujourd’hui et me hantera encore longtemps peut-être jusqu’à ma mort sûrement. Et bien à l’instant ou j’ai vu son couteau et surtout son regard j’ai tout de suite pensée que c’était mes derniers instant sur cette terre. Mais j’ai été surpris lorsqu’il a rangé son couteau et qu’il m’a sourit, c’était un vrai sourire du moins c’Est-ce que j’ai cru.

A partir de cet instant il c’est tout de suite montré vraiment gentil avec moi, il m’a montré le même amour que celui qu’il portait à mon frère. J’aurais du comprendre, j’ai été bête j’avais tant rêver de cela que j’ai été aveugle. Mais je n’ai véritablement compris cela que le jour de mes onze ans lorsque mon père a été arrêter. Il a demander à voir ses deux fils, Sushi a refusé de le voir mais pas moi. Moi je l’aimais plus que tout, peu m’importait ce qu’il avait peu faire. Pour moi il était mon père, mon héro la personne que j’aimais le plus au monde mais il m’a trahis. Lorsque je suis entrer dans cette petite pièce, il était assis sur sa chaise face à une table et là, là il ma cracher toute la vérité. J’ai eu mal, mon cœur c’est brisé à cet instant et si seulement cela avait été tout mais il y avait aussi…


Je senti une main sur mon épaule elle me secoua, je grognais mais rien à faire j’étais éveillé à mon grand regret. La copie c’était assise sur une chaise à côté de moi et elle souriait, un véritable sourire. Un sourire que seul Hiro pouvait réaliser, j’aurais reculé de surprise si seulement je n’avais pas été assis. Puis il sortit ces deux mots, je senti mon cœur faire un bon et un étrange sentiment. J’aurais aimer hurler « Non ! » à cet instant mais impossible, j’étais trop heureux. Mais je ne pouvais m’empêcher de le détester car je sentais qu’il allait me blesser encore après. Le surveillant se leva et alla derrière le bar pour me servir un verre d’eau. Il déposa le verre face à moi, m’ébouriffa les cheveux avant de me dire au revoir et de commencer à partir.

"-Normalement c’est à ce moment que le beau et séduisant jeune homme retient sa ravissante fiançais."

Je me figeais on regardant l’encadrement de la porte, ou plutôt la personne qui se trouvait dans l’encadrement de la porte. Je me levais aussitôt, un peu trop vite car si mon sempai n’avait pas était devant moi je me serrais certainement étaler. Je me rattrapais au dos d’Hiro, puis je m’écartais en rougissant violement. Après tout ce n’était pas souvent que l’on me déclarer sa flamme et puis la mauvaise blague du maître était franchement mal placer. Je pris une grande inspiration, j’attrapais le verre d’eau que m’avait apporté le surveillant et je le versais sur mon visage. Une fois à peu près en état d’aligner plus de deux mots je m’avançais. Je me tenais aussi droit que je le pouvais puis je posais un genoux à terre face à cet homme et je déposais un baiser sur sa bague, la bague des Shimizu.

"-Maître, je suis heureux de vous revoir!"

L’homme était extrêmement vieux mais pourtant il se tenait bien droit et d’un regard malgré son apparence on comprenait qu’il n’était pas simplement une personne âgé parmi tant d’autre. Il était vêtu très simplement et certaine personne aurait peu ,pensée qu’il s’agissait d’un vieux clochard. Mais il dégageait un petit quelque chose en plus, une sorte d’aura de puissance. C’était cela que l’on appeler un être à part, il souriait un peu gêner. Derrière lui se tenait plusieurs homes tout vêtu en noir, parmi eux les deux brutes. Le vieille homme claqua des doigts et ils disparurent tous, je me relevais et lorsque je fus sûr qu’il était tous parti je lui sautais carrément dans les bras. J’affichais une expression enfantine et même ma voix était celle d’un enfant:

"-Grand père!"

Le vieil homme riait depuis un moment déjà, il ébouriffa calmement mes cheveux avant de poser son regard dans le mien. On pouvait voir dans son regard la pureté de ses sentiments, il me considérait vraiment comme son fils et moi je le considérait comme mon grand père. C’était là seule personne que j’aimais vraiment, la seule personne qui ne me ferait pas de mal. J’esquissais un sourire, un de mes véritable sourire puis je le conduis jusqu’à une table sa santé étant fragile. Je me dépêchais daller lui chercher un verre de vin, son vin préféré puis je le servi sans mot. J’attendis qu’il finisse son verre et qu’il me présente un siège avant de m’asseoir. Puis à ma grande surprise il demanda à Hiro de se joindre à nous. Il lui présenta la place en face de lui puisque j’étais à côté de lui.

"-Monsieur Shimizu, enchanté."

Hiro rejoignit la place que lui avait indiqué le vieil homme, je l'observais s'asseoir essayant tant bien que mal de retrouver mes esprits dans leur intégraliter. J'avais toujours ces horrible maux de tête, il fallait dire que l'alcool n'était pas vraiment une chose que j'appréciais. Je m'étais assis à côté du chef un large sourire enfantin sur mon visage. Et je l'observais un long moment, il n'avait pas du tout changer depuis la dernière fois. D'un autre côté en un peu plus d'une semaine les changements ne se faisait pas forcèment. D'un autre côté j'étais la preuve qu'il ne fallait pas s'y fiait, des changements j'en avais eu en une semaine. J'avais perdu plus d'un dizième de mon poids, j'avais des cernes monstre au visage et je buvais de l'alcool, moi!

J'observais toujours le vieil homme, il avait les même cheveux gris le même regard étrangement apaisant et un sourire mystérieux dont on ignorer l'origine. Il fixait le surveillant et le regard qu'il avait pouvait tromper n'importe qui mais pas moi. Il analysait la personne, de cette façon il pouvait dévoiler les moindre détails physique comme psychologique de sa personne. C'était la première phase du jugement implaccable du parain Shimizu. J'esquissais un sourire, à côté de cet homme j'avais toujours cette impression d'être un grand gamin et j'en prenais inconsciemment l'attitude.

"-Vous ne diriez pas cela si vous me connaissiez mieux!"

Le vieil homme avait rit on entendant le "tout l'honneur est pour moi" qu'avait prononcer Hiro. Son rire était léger, c'était le genre de rire qui vous donnez malgré vous l'envie de rire avec lui. Je ris doucement même si au fond ces mots ne me plaisais pas mais alors pas du tout. Il avait beau essayer de passer pour un terrible mafieux sans coeur devant les autres moi je connaissais la vérité sur lui. Je le regardais un peu triste alors qu'il se retournait vers moi un large sourire au lèvres et qu'il m'ébouriffait les cheveux. Je ris d'autant plus, j'adorais être traiter comme un enfant mais seuleument par cet personne que j'admirais plus que tout au monde.

"-Arrête un peu de faire cette tête d'enterrement et raonte moi un peu ta semaine! Je ne t'ai pas vu depuis presque une semaine, ou étais tu passer?"

Il était toujours jovial et n'impporte qui aurait peu être attirer par tant de joie et de bonne humeur. Malgré ses quatre vingt dix ans il avait l'air dont avoir seuleument soixante et pas seuleument d'apparence. Pourtant à cette question je n'arrivais pas à sourire, je ne voulais pas lui mentir mais devant Hiro je ne pouvait pas parler du moins pas totalement. Je baissais les yeux puis je le regardais puis je tournais mon regard vers Hiro un court instant avant de baisser de nouveau mon regard et de lacher:

"-J'ai dormi..."

Monsieur Shimizu avait l'air surpris mais il se contenta de sourire d'un air un peu gêner et de hocher la tête. Je lui rendis son sourire puis je l'observais boire son verre sans vouloir le dérranger. J'aurais tant voulu tout lui raconter et surtout j'aurais aimer savoir pourquoi il c'était déplacer de lui même car en temps normal cela ne se passer pas ainsi. Le parain ne se déplacer jamais c'était aux membres de se deplacer et pas l'inverse. Je l'observais d'un air interrogateur puis au lieu de me répondre il se retourna vers Hiro et lui demanda d'un air amusé:

"-Hiro Luya...Ah! LE Surveillant."

Il avait bien insister sur le "Le" tout en me fasant discrètement mais pas tant que cela un clin d'oeil. Je rougis et baissais les yeux regrettant presque de lui avoir parler de ma rencontre avec Hiro. Certes je ne lui avais pas parler des details mais bon il avait bien compris. A savoir sur monsieur Shimizu c'est qu'il n'avait pas le moindre problème vis à vis des relations entre homme et encore moins de la défférence d'âge. Pour lui l'amour était au delà de cela c'était une chose unique.

Hiro répondit au vieil homme qu'il s'agissait sûrement de lui puis il ricanna brièvement. Je l'observais du coin de l'oeil puis je fichais un coup de pied à mon voisin de chaise. Celui-ci allait me le payer, certes je n'allais rien lui faire mais qu'il ne compte plus sur moi pour lui acheter ses magazines sur la cuisine. Et oui le parain de l'une des plus grande famille de la mafia était un grand amateur de cuisine! Cela n'avait rien de bien anodin pour une personne normal mais pour des mafieux cela était difficile à avaler.

Le surveillant se leva alors et alla dérrière le bar, j'esquissais un sourire à son initiative. Personnellement je ne m'attendais pas à ce qu'il se sente aussi bien alors que j'avais plus ou moins virer le patron des lieux. Hiro demanda si quelqu'un voulait boire quelque chose, je regardais le vieil homme qui souriait toujours. Celui-ci lui montra son verre vide de façon à lui sognifier qu'il voulait bien la bouteille. J'allais lui demander un coktail mais à la question du surveillant je me ravisais et je lui rendis tout ses sourire en un seul des plus éblouissant.

"-Non, cela ne serra pas necessaire. Je me contenterais d'un verre d'eau."

J'avais parler presque normalement tout en serrant les poings c'eszt alors que le vieil homme m'envoya une grande tappe dans le dos tout en riant. Puis il m'observa de son regard amusé essayant de calmer son rire. Il lui arrivait souvent de se comporter comme un enfant et je detestais vraiment ce côté là de sa personne. Mais finalement je me mis à rire à mon tour, commment pouvais-je résister après tout c'était amusant d'un certain point de vu. En réaliter moi et Shimizu nous rigolions pas pour les même raisons qu'Hiro souriait.

Pendant les deux dernière années, les longue et plaisante années que j'ai passé dans la famille Shimizu j'ai participé à de nombreuse fête et cérémonie. A ne pas oublier sur moi c'est que je suis un grand accros de santé et de bonne condition physique comme psychologique. Je m'entraine chaque jour, je me nourris sainement et je ne fume pas, je ne bois pas et je ne me drogue pas. Et pendant les deux années que j'ai passé on a cessé de me proposer de boire sans cesse c'était devenu une sorte de parie entre les membres. Celui qui me faisait boire prenait ma place, c'est à dire il devenait le nouveau bras droit. Et de me voir encore à moitier saoul était non seuleument amusant mais aussi assez destabilisant.

"-Vous ne nous dérrangez pas, je ne reste pas bien longtemps de toute manière!"

Le vieil homme c'était adressé à Hiro l'air de dire de nous deux c'est moi qui dérrange mais je le fais vite. Il n'avait pas changer, il paraissait même en meilleur santé donc cela ne devait pas être une mauvaise nouvelle. Mais pour une raison que je n'appréciais pas je ressentais un drôle de présentiment. Hiro revint avec les boissons, j'attrapais la bouteille de vin avant que mon "grand père" ne la prenne et le versais dans son verre le liquide avant de reposer la bouteille loin de sa portée. Puis je pris le verre d'eau et tout sourire je lâchais:

"-Merci!"

À la phrase que prononça Hiro je me contentais de faire une grimace. Pendant que le vieil homme ricannait dans sa barbe. Je me refermais comme une huitre légèrement ambarasser. Le surveillant ne s'en rendait pas compte mais si il avait prononcer se genre de parole en présente des membres de la famille il ne serrait plus de ce monde. Je sentis la main, la grande main toute chaude du vieux Shimizu sur mes cheveux mouiller. Il s'amusa à me décoiffer m'arrachant un sourire. Puis il se concentra sur son verre, un bon verre de vin blanc.

Le surveillant porta son regard à l'extérieur, je regardais dans la même direction et j'esquissais un sourire. Contrairement à Hiro qui avait hâte de voir la neige moi je pensais à autre chose et cela malgré moi. Je me demandais comment allait s'en sortir mon sempai. Après tout n'était-il pas frileux alors l'hivers devait être difficile à vivre pour lui, non? Je me retournais alors vers mon "grand père" qui venait discrètement de me glisser des clefs dans mes mains. Je n'eu pas le temps de prononcer quoi que ce soit qu'Hiro essaya d'engager une conversation.

"-Vous travaillez à Tanaka, cela doit être intéressant?!"

Comme a son habitude le parain avait toujours quelque chose à dire. Et pendant qu'il discuttait j'observais les clefs. Elles étaient plutôt grosse, avec une forme de coeur...!!! J'écarquillais les yeux et virais au rouge. Le vieil homme abusait vraiment de sa position parfois. Il venait de m'offrir les clefs d'une chambre d'un love hotel. Je les fourrais dans mes poches et m'appliquais à boire mon verre d'eau.

J'étais totalement concentrer sur mon verre d'eau essayant de penser à autre chose et cela sans succès. Pendant ce temps le vieil homme engageait une conversation avec Hiro. J'esquissais tout de même un sourire aux mots du vieu. Pour lui interessant voulait dire "il doit y avoir du monde à recruter!". Monsieur Shimizu écoutait avec attention les paroles du surveillant. Il souriait avec lui, hochais parfois la tête et riait même. Pendant ce temps j'observais mon verre toujours aussi rouge. Je me demandais pourquoi le vieil homme m'avait offert ces clefs, à quoi pensait-il?!

"-Je vois, vous avez tout à fait raison! Les préjuger ne doivent pas parfaire votre jugement!"

C'est alors qu'une detonnation se fit entendre à l'extérieur.

"-Humm...je reviens.

Je sorti aussitôt à l'extérieur, cela se passa très vite. J'attrapais le crétin qui avait tiré et je le mis KO après quelque coups. J'en profitais pour assomer deux trois hommes qui fumaient. La cigarette à proximiter du parain était interdite. Cela pouvait le rendre plus malade qu'il ne l'était déjà. Je lançais un regard à tout le monde avant de retourner à l'intérieur.

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Pendant mon absence le vieil homme avait eu un sourire un peu gêné. Il c'était réfugié dans son verre de vin puis après un instant avait finit par parler:

"-Alors comme ça vous aimez Sashimi..."

Il était devenu beaucoup plus sérieux. Sa voix était toujours chaleureuse et son regard amusé. Pourtant à cet instant n'importe qui se serrait senti mal à l'aise..

Le vieil homme ne l'écoutait plus, ou du moins pas vraiment. Hiro ne pouvait pas savoir à quel point les préjuger avaient diriger la vie du vieillard. Dès son enfance, jusqu'à sa majorité et de sa majorité jusqu'à encore aujourd'hui. D'une certaine façon le chef des Shimizu était un homme comme les autres, faible et sans défense. Je n'étais pour lui qu'un pilier sur lequel s'appuyer et cela me convenait. La detonation n'avait pas vraiment eu d'effet sur le vieil homme. Il y avait toujours des gens pour essayer de le tuer ou des crétins pour appuyer accidentellement. Je m'étais donc retirer pour voir ce qu'il se passer. Pendant que le vieil homme posait là question à Hiro.

Le vieil homme écouta le surveillant sans prononcer un mot. Il l'écoutait avec attention prenant chaque phrase, chaque mot, chaque expression en note. Il ne montrait pas la moindre emotion, ne laissant apparaitre aucune de ses réactions face aux propos tenu par Hiro. Une fois terminer il hocha la tête de haut en bas sans dire un mot. Puis il rit doucement, il releva son regard sur le visage du surveillant. Un regard triste, un regard qui reflètait toute la douleur et la souffrance du vieil homme.

"-M'envier moi? Vous n'imaginez pas à quel point j'aimerais vous donnez ma place."

Il poussa un long soupir avant de reprendre.

"-J'aime beaucoup Sashimi, c'est un brave garçon mais..."

Il porta son regard dans son verre de vin et finit tristement:

"-Être son seul ami, la seul personne à qui il accorde un minimum de confiande...à mon âge, dans mon état de santé actuel."

Une larme apparut au coin de son oeil, il l'effaça aussitôt.

"-Lorsque je mourrais Sashimi risque de se sentir seul. Même si il lui reste son frère et son oncle il n'est pas assez proche d'eux...regarder le resultat lorsque je ne suis pas là, il boit et passe ses journées à dormir!"

Il rit doucement avant de lâcher:

"-Si vous l'aimez vraiment n'attendez pas qu'il fasse les premiers pas. Si vous attendez, il risque de ne jamais venir... Cela ne voudra pas dire qu'il ne vous aime pas, ou qu'il a du mal à accepter d'aimer un homme! C'est juste qu'il s'agit de Sashimi, et qu'il est comme çà!"

"-J'ai arrangé le problème!"

J'étais de retour tout souriant, je les observais intriguer puis je m'assis sans un mot.

La réponse d'Hiro n'avait rien pour me rassurer. J'écarquillais les yeux, je virais au rouge écarlate et je secouais la tête de gauche à droite. Les sujets que mon "grand père" pouvait abordé était vraiment et cela la plupart du temps indécent. Il avait beau être le genre de personne droite et sérieuse pleine de vie mais il avait une seconde personnalité. Il aimait en cachette car il fallait dire que ses épouses étaient des monstres. Il aimait tout ce qui avait atrait au sex, à la luxure et à la débauche. C'était là les seul sujets qui le passionner vraiment. La preuve en était qu'il lui avait donné une clef d'un love hotel à lui un jeune homme de dix sept ans! Je reportais mon regard sur Hiro et je hurlais pratiquement de surprise:

"-Il t'a tout de même pas parler des danseuses bunny et de leur gros, enorme...euh..."

Je m'arrêtais là, il n'était pas nécessaire d'aller plus loin Hiro devait avoir saisi. Je le fixais un moment puis je réalisais alors mes paroles. Mon visage devint aussi rouge qu'une tomate et je baissais les yeux. Je me mis alors à rire sans pouvoir m'arrêter. Puis je relevais mon visage un large sourire gêné et je lâchais un peu honteux:

"-Euh..je, je ne l'ai jamais accompagné! C'est...c'est lui qui...euh, bon euh..."

Je m'assis sur une chaise rouge de honte, je n'étais entrer qu'une fois et les danseuse m'avait trouvé si mignon qu'elles m'avaient étouffer sous leurs énormes poitrine. Je n'avais que quinze ans et j'avoue que ça m'a traumatisé. Hiro ne tarda pas à changer de siège pour venir juste à côté de moi. Si près, génial maintenant j'étais rouge pour autre chose. J'écoutais mon sempai sans l'interrompre une fois puis je me recroquevillais sur moi mêms, ramenant mes genoux contre mon torse.

"-Je n'ai rien à te pardonner. C'est plutôt à moi de m'excuser, je sais que je suis difficile à cerner moi même j'ai du mal à....à me comprendre."

À chacune de mes paroles je m'enfonçais un peu plus vers le ridicule. Hiro était plié de rire et je n'arrivais à m'arrêter sortant bêtise après bêtise. Hiro essayait de me faire comprendre qu'il ne s'agissait pas de ça mais difficile de me faire entendre raison lorsque je suis dans cet état là. Une fois que je ne trouvais plus rien à dire je fixais le sol. Je me sentais vraiment ambarasser et Hiro n'arrangeait rien. Déjà que je me sentais coupable pour toute cette histoire. J'observais le sol, noir d'énorme dalle noir, c'était peu commode pour un bar de ce quartier. J'étais loin de me douter qu'Hiro vivait à proximiter.

"-Il n'a rien de spécial...enfin, à deux chose près..."

Ce n'était pas un mensonge, le vieil homme n'était de mon point de vu totalement banal. Il était vieu et pervers, certes parain de la mafia et mon seul confident mais c'est tout. Je répondis à ses paroles et alors il sourit, ce sourire qui faisait de lui ce qu'il était. Il pencha la tête sur le côté puis je ne compis pas vraiment comment cela était arrivé mais j'eu droit à un baiser. J'étais assez déconcerter malgré ma joie. Je ne savais pas trop quoi dire et je n'arrivais pas, je n'osais pas relever mon visage. J'étais tout rouge et j'affichais une mine boudeuse.

"-C'est pas juste, vraoment pas juste..."

Il avait pas le droit d'être celui qui sortait les belles paroles de réconfort. J'étais à la fois heureux et frustrer, Hiro ne pouvait certainement pas comprendre mais j'avais l'étrange impression de jouer le rôle de la jeune fille. C'était peut-être stupide et injustifier mais c'était plus fort que moi. J'attrapais doucement la veste du surveillant et je déposais ma tête contre son torse avant de souffler:

"-Tu m'as manqué....sempai..."

Puis je m'écartais, inspirer un grand coup et repris mon visage d'ange.

"-Mais évite ce genre de phrase...c'est, c'est gênant.

Il avait prononcer la fin de sa phrase d'une toute petite voix. Il était de nouveau rouge et encore plus renfrogner et il donnait des coup sur le sol espèrant changer de sujet. Une main dans sa poche efleura le ""cadeau"" du vieil homme le faisant rougir violemment.